Burlesque EntrepriseJean Hervé Appéré

Burlesque EntrepriseJean Hervé Appéré

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Burlesques Associés et Jean Hervé Appéré alias Mastoc

2007

Guillaume Collignon et Jean Hervé Appéré ont l'art du travestissement 

intempestif et du naturellement vôtre pour la plus grande joie d'un public conquis qui se prête volontiers au jeu des allers-retours entre les comédiens et lui-même. Molière ne saurait s'indigner d'une interprétation aussi largement plurielle où l'on retrouve l'essentiel de la farce qui fit et fera toujours le rire de tous. Marianne M - La Marseillaise - 20 juillet 2009

« réunir la commedia dell'arte, Molière et le cinéma burlesque américain » : pari gagné, chapeau melon bas, haut les mains et francs les rires ! Le public est actif, il existe indubitablement et contribue à ce moment partagé, grâce à l'enthousiasme communicatif. Claire Néel - lestroiscoups.com - Avignon 2008

Le public se souviendra longtemps de ces scènes d'anthologie du «  Médecin malgré lui  » jouées par ces deux compères qui, masqués, travestis, accessoirisés, assuraient tous les personnages , faisant souvent participer à l'action les spectateurs heureux et admiratifs. Dans un immense éclat de rires, le festival de théâtre s'est admirablement clôturé. Emille Doussoulin - La Provence - 10 Août 2009

Les spectateurs sont charmés de pouvoir devenir, au bon gré contagieux, des comédiens, Lucinde, Léandre, nourrice ou autres... Ils parlent la langue de Molière, ressuscitent dialogues, chansons et pantomimes de Laurel et Hardy, sans oublier quelques échappées plus ou moins improvisées de Guillaume Collignon et Jean Hervé Appéré. Madeleine Jambon - Le Journal de Saône et Loire - Août 2009

2011

Excellent ! Voilà du théâtre populaire tel qu’on les aime, avec du rythme, une touche de commedia dell’arte, de la pantomime, une bonne dose de burlesque et un soupçon de poésie, le tout saupoudré de quelques notes de musique en direct, histoire de se mettre vraiment dans l’ambiance cinématographique des années 1920-1930. Tant pis si leur film est un naufrage, on s’en serait douté. A défaut de remporter un oscar, nos deux lascars gagnent l’adhésion du public. Et ça, ça vaut toutes les récompenses du monde. Mathieu Girandola - la Théâtrothèque.com - Août 2011

Tour à tour Daltons évadés d’une prison américaine, les deux lascars Moustic (Guillaume Collignon) et Mastoc (Jean Hervé Appéré) nous offrent une belle cavale de gags en tout genre dans la veine jubilatoire de Laurel et Hardy. Méliméloff - 19 juillet 2011

Dans toute la première partie du spectacle, les deux personnages sont muets. Puis ils se mettent à parler, le genre tournant délibérément au burlesque, riche de tous les moyens d’expression dont disposent les deux virtuoses. la salle n’a pas arrêté de rire. La Provence - Lançon de Provence - 9 juillet 2011

Notons que ce spectacle est nominé au Devos de l'humour 2012. Nos deux compères avec une pincée de pantomime, quelques kilos de musique en direct (trompette, bugle, hélicon, etc..) une énorme dose d'improvisation et un jeu permanent avec le public ont, une fois encore, conquis le large public. Le rêve qu'ils nous racontent : pouvoir remporter le Grand Prix du Festival international du cinéma avec un film d'épouvante est un bijou de drôlerie, de référence ou les gags s'enchaînent à la vitesse de la manivelle de leur caméra. Moustic et Mastoc débordent d'énergie et usent de tous les stratagèmes pour faire rire. Un excellent spectacle de théâtre populaire tel qu'on les aime. La Dépêche - 29 novembre 2011

Guillaume Collignon et Jean Hervé Appéré font penser à Laurel et Hardy, et ce n’est pas un hasard. Ils utilisent le mime et la pantomime, l’art du clown, jouant de divers instrument de musique pour réjouir un vaste public de 6 ans à 100 ans. Ils savent établir un jeu jubilatoire entre eux et le public qui est un véritable partenaire et devient même comédiens de leur chef d’œuvre qui aurait dû bouleverser l’histoire du cinéma. Les gags s’enchaînent, les références à ce bon vieux cinéma burlesque enchantent les spectateurs. Les deux malfrats échappés n’auront peut-être pas des Academy Awards mais ils ont les applaudissements d’un auditoire hilare. Par Marie-Laure Atinault - Webthea - Avignon le 30 juillet 2012

2013

Une comédie grandiose qui mêle acrobaties, musique, chant, et de magnifiques costumes. Dr. Georg J. Vigier - Kulturnetz Kontakt - Juillet 2013

Ce classique de Molière est mis en scène à la perfection. De la musique jouée et chantée en direct (sur des instruments baroques), de la danse, une interaction avec le public et même de la Commedia dell’arte, le tout sous les signe de la comédie. Bien entendu c’est drôle et bien écrit. Tout est fait pour mettre en valeur le texte. Et cela grâce aux acteurs qui partagent avec générosité leur inépuisable énergie. Avi - City local News - juillet 2013

Gags, pantalonnades, cascades, chutes, coups, chant, musique, utilisation du public se succèdent alors pour le plus grand plaisir des spectateurs. Un spectacle jubilatoire ! Merci à Jean Hervé Appéré et à ses amis qui redonnent à la commedia dell'arte toute la place qu'elle mérite. La Provence - Lançon de Provence - 5 juillet 2013

2013

La fantaisie propre au duo Mastoc et Moustic est toujours là : improvisations (verbales, gestuelles et musicales), utilisation du public (sans le mettre en difficulté pour autant comme dans « Molière malgré lui »), utilisation des masques pour aborder les métamorphoses qui s’invitent dans le spectacle.

Une pointe de commedia dell’arte, une pincée de pantomime, quelques kilos de musique en direct (trompettes, saxhorns, sousaphone, harmonicas, banjolele, cornet à bouquin, flûte à bec, guitare renaissance et tambour... ) et surtout comme toujours avec Mastoc et Moustic, des kilos de burlesques. Un spectacle qui, de façon jubilatoire et clownesque, aborde la difficulté d’aimer, la violence faite aux femmes, la maladie... etc. le tout dans des ambiances qui passent des années 30 au 17 ème siècle.

2014

C'est l’histoire d’un soldat qui, sur le chemin le ramenant au pays, rencontre le Diable qui lui propose un marché: son petit violon contre un livre permettant de prédire l'avenir. Le soldat accepte et suit alors le diable pour un détour de trois jours seulement. Quand il revient dans son village, personne ne le reconnaît : ni sa mère, ni sa fiancée, qui s'est mariée entre temps. Au lieu de trois jours, le séjour avec le diable a duré trois longues années (nous sommes alors dans la troisième année de la première guerre mondiale).

Si « L'Histoire du soldat » est une évocation de la grande guerre, du destin du soldat, elle est aussi une allégorie du temps qui nous échappe, de la mort qui nous guette et contre lesquels ni le pouvoir ni l'argent ne peuvent rien et que seuls l'amour et l´art peuvent conjurer, voir nous permettre de nous les approprier.

2015

Pourquoi « Burlesques Associés » se prend-elle l'envie de créer son « Don Juan » ? Pour le plaisir bien sûr mais l'argument est un peu maigre. Nous n'avons pas non plus l'outrecuidance d'espérer apporter un éclairage réellement nouveau sur l'oeuvre. Non, nous voulons tout simplement faire goûter au public, qui nous suit depuis 7 ans déjà, ce festin raffiné. Notre recette sera assaisonnée comme il se doit de commedia dell'arte, de burlesque, de chants et de musique baroques (Lully et Louis Couperin notamment, interprétés en direct par les 5 comédiens-musiciens-chanteurs), avec cette touche saltimbanque qui nous est chère.


2016

Ce sont les comédiens eux-même, avec ukulélé et cuivres anciens (Adolphe Sax présente ses cuivres chromatiques avec pistons en 1843), qui accompagnent les airs à la mode, et font rentrer dans la salle les sons nouveaux de cette époque. Une bande son imprégnée par la « Symphonie fantastique » (1830) de Berlioz, La « Marche de Radevsky » (1848) de Strauss ou le quatuor en mib (1856) de Edouard Lalo, (toutes ces œuvres sont contemporaines de Labiche) scandent les intermèdes et s’infiltrent dans les tableaux. Ce sont ces musiques et les costumes tour à tour populaires, bourgeois ou romantiques qui assurent à la scénographie son parfum d’époque. Le spectacle mélange allègrement le drame historique (sur fond de révolution de 1848) et le vaudeville, le comique et l’émotion, le burlesque débridé et les moments d’émotion délicieux. Musiques, chants, pantomimes, gags, éclairages (sophistiqués ou réduits si besoin), cette comédie quasi «  historique  » est complète, efficace, à la mesure du duo comique «  Moustic & Mastoc  ».

Burlesque Entreprise
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